Le « ver » est dans le « vert ». Dominique Guillet (fondateur de Kokopelli), dans un texte poignant et assez virulent comme il lui est coutume, nous fait voir le climat sous un autre angle… Il ose remettre en question le dogme absolu du réchauffement climatique, avec nombre d’arguments convaincants, mais surtout nous fait relativiser et mettre en perspective ce qui est devenu l’objet d’une hystérie collective généralisée. En voici un extrait…
« Canicul-Bénis, une nouvelle hystérie religieuse au service de l’Ordre Mondial »
« Aujourd’hui, une fois de plus, j’ai la rage à fleur de peau et n’en déplaise à la “bien-pensée” écologique (ou qui s’est auto-proclamée telle), il me semble indispensable de soulever quelques questions impertinentes au égard à la priorité brûlante de cette lutte contre un prétendu réchauffement climatique anthropique. Tout porte à croire, en effet, qu’une grande partie des écologistes, et des citoyens, est victime d’une énorme arnaque pseudo-scientifique, médiatique et sémantique, qui occulte, de façon bien orchestrée :
1. La destruction de l’intégralité de la biosphère, et l’empoisonnement de l’humanité, par la mafia de la semence, de la pétro et agrochimie et de la pharmacie, et ce depuis plus de 60 ans, avec la complicité bienveillante de tous les états Occidentaux.
2. L’utilisation d’une panoplie de peurs instillées par des médias à la botte des Autorités: la peur du terrorisme, la peur des anarcho-autonomes, la peur de la grippe porcine, la peur du CO2, la peur des canicules… pour faire monter leur Nouvel Ordre Mondial, qui n’est qu’une soupe mal réchauffée de l’ancien.
3. L’imposition de nouvelles taxes aux peuples pendant que la mafia continue de tout empoisonner, de tout polluer, de tout saccager et d’engranger des dividendes. Il semblerait qu’on ait déjà gommé, de la mémoire collective, le tout récent, et le plus grand, hold-up financier dont l’humanité ait jamais été la victime: des milliers de milliards de dollars injectés pour la prospérité de la finance, des banques, des assurances…
Au risque de me répéter, permettez-moi d’énumérer quelques faits bien réels, procédant du vécu planétaire quotidien et non point de la simulation d’ordinateurs virtuels:
– Aujourd’hui, ce sont plus d’un milliard d’êtres humains qui ne mangent pas à leur faim.
– Tous les jours, ce sont 35 000 êtres humains, principalement des enfants, qui meurent de faim: à savoir, ils trépassent.
– Les sols agricoles sont ruinés, biologiquement morts, et selon certaines études, au taux de 76 milliards de tonnes de sols érodés tous les ans, il n’y aura plus un seul gramme de terre arable en 2050.
– Ce sont 2,6 milliards d’humains qui sont sans assainissement, et ce sont 1,3 milliards d’humains qui sont sans accès à l’eau potable. Tous les ans, 2 millions d’enfants de moins de cinq ans meurent de maladies diarrhéiques liées au manque d’eau potable.
– La biosphère est cancérisée et une partie de l’humanité se meurt empoisonnée par les aliments et les produits de la chimie, de la pharmacie et de l’agrochimie.
– 300 personnes possèdent autant que les 3 milliards d’individus les plus pauvres de la planète: ces 3 milliards d’individus vivent avec 1 dollar par jour et peut-être moins.
Ces faits, qui sont loin d’être exhaustifs, dans le catalogue des calamités, remettent fort bien en perspective les dangers, réels ou illusoires, liés à une augmentation de la température d’1 ou de 2°C: à savoir, de vagues montées des eaux, un déplacement de réfugiés “climatiques”, une remontée des vignobles Français vers le nord, et autres épiphénomènes, que le GIEC, et autres affiliés, nous promettent pour demain, pour après-demain, pour 2050, ou pour 2100… »
texte complet en téléchargement ici
photo issue de Northwest Territories (NWT)